Les personnalités à l’heure des réseaux sociaux

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Facebook, Twitter, Instagram… Les personnalités sont de plus en plus nombreuses à utiliser les réseaux sociaux pour une communication directe avec leurs fans, leur public ou leurs concitoyens. Sportifs, politiques, milieu culturel… Petit tour d’horizon de la planète Puy de Dôme sur les us et coutumes des uns et des autres. Un choix non exhaustif et forcément subjectif…
A tout seigneur, tout honneur. Renaud Lavillenie. Impossible de rater le perchiste quand on navigue sur les réseaux sociaux. Il faut dire que le champion olympique de Londres explose les compteurs : 179.340 abonnés sur Twitter, 126.000 sur Instagram et 367.740 « j’aime » sur Facebook (au 10 janvier). S’il est loin des records mondiaux en la matière, « Little big perchman » dispose en revanche d’une dimension planétaire, suivi par de nombreux fans à travers le monde. Ces derniers peuvent le découvrir dans ses pérégrinations, à l’entraînement ou ailleurs, avec de temps en temps, quelques infos plus « people » en compagnie de sa douce, Anaïs Poumarat. @airlavillenie devance d’assez loin le cycliste Romain Bardet, lui aussi plutôt actif (58.469 followers et 61.800 sur Instagram).
« C’est une forme de communication très spontanée que je gère en direct. Quand il y a des choses sympas à partager, je n’hésite pas. Je veux garder un lien direct avec le public », souligne le dauphin de Chris Froome sur le Tour de France 2016, qui fait découvrir les coulisses de sa carrière professionnelle sans rien dévoiler de sa vie privée.
Du côté des rugbymen de l’ASM, il y a « l’extra-terrestre » Fofana. 311.809 followers à lui tout seul (55.600 sur Instagram) ! Avec respectivement 41.162, 35.333 et 28.570 abonnés sur Instagram, Damien Chouly, Morgan Parra et Rémi Lamerat paraissent « un peu à la peine » derrière le centre international et les deux champions précédents, tout comme Nick Abendanon et ses 13.800 abonnés. Mais tout est relatif. L’Anglais n’hésite pas à mélanger les genres. Les posts pros et privés (enfant, famille…) se côtoient indistinctement, tout comme chez son coéquipier David Strettle (écrit avec 3 t !)
Peu de traces en revanche d’Aurélien Rougerie sur les réseaux sociaux, excepté une page Facebook « rougerie aurélien », pas très alimentée, et une autre dédiée à ses affaires professionnelles d’entrepreneur. « Roro » semble plutôt cultiver l’art de la discrétion. Quand il se retrouve ailleurs, c’est souvent à l’insu de son plein gré. Merci à ses coéquipiers !
LES POLITIQUES : TOUT OU RIEN !

QUID DE LA CULTURE ?
Dans le milieu culturel, là aussi, on surfe sur la vague des réseaux sociaux. Avec plus ou moins d’assiduité. La jeune romancière Cécile Coulon est très active sur Facebook mais elle n’a pas de compte Instagram et Twitter. Logique. Son truc à elle, c’est l’écrit… L’ami Didier Veillault ne perd pas son temps sur le portable. Pas de traces du patron de la Coopérative de Mai. Mais ce n’est pas une tare… Dans les autres grosses structures culturelles clermontoises, on utilise surtout les réseaux pour faire la promotion de la saison et de la politique artistique que l’on porte. Si le directeur de la Comédie de Clermont, Jean-Marc Grangier, dispose d’un compte Facebook, peu alimenté, ses homologues du Centre lyrique et de l’Orchestre d’Auvergne font feu de tout bois. Pierre Thirion-Vallet a choisi Facebook tandis que Roberto Forès Veses, le plus prolifique, conjugue Facebook et Twitter. Twitter, justement, parlons-en. C’est la journaliste météo de BFM TV, la pétillante Fanny Agostini, qui met tout le monde d’accord : 436.090 followers suivent la jolie brunette de la Bourboule sur ce canal ! Même Wesley Fofana et Renaud Lavillenie s’avouent vaincus. Respect…
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